Spéciale dédicace à nos mamans !
Joyeuses Fêtes des Mères de Garry Marshall
Synopsis :
En couple ou séparées, amoureuses, courageuses, maladroites, touchantes… À l’approche du jour de la Fête des Mères, découvrez les destins croisés de plusieurs filles, femmes, mères (et pères !) de famille.
Aujourd’hui, c’est la Fêtes de Mamans (nan, sans blague ?) et donc je me suis dit qu’un article sur le dernier film de Garry Marshall était particulièrement bienvenu.
Alors pour celles et ceux qui ne connaissent pas Garry Marshall, on lui doit quelques comédies romantiques cultes avec tout d’abord Pretty Woman, Princesse malgré elle (1 et 2), Valentine’s Day, Happy New Year… etc.
Et oui, bravo aux observateurs, Julia Roberts est effectivement une de ses actrices cultes mais le plus culte d’entre tous est certainement Hector Elizondo qui apparaît dans pratiquement chacun de ses films depuis les années 1980 (mais siiiii tu sais, l’adorable maître d’hôtel de Pretty Woman).
Bref, en ce jour de Fête des Mères, parlons de son dernier né.
Depuis Valentine’s Day, Garry Marshall s’obstine dans le film choral (plusieurs histoires qui se recoupent). Après ce premier film et Happy New Year, Garry Marshall en a donc réalisé un nouveau autour d’une autre fête mythique : la fête des Mères. Et franchement, plus ça va, moins ils sont réussis….A quand Joyeuses Pâques !?
Effectivement, le thème pouvait être intéressant (nos mamans méritent bien un film qui leur soit consacré), le résultat est bien en dessous de ce qu’on pouvait escompter.
Comme quoi, il ne suffit pas d’enchaîner les stars pour faire un bon film.
Si on retrouve avec bonheur le duo Julia Roberts/Hector Elizondo (et leurs petits rappels à Pretty Woman), le reste du film est … comment dire… carrément ennuyeux !
Je suis pourtant généralement bon public quand il s’agit de films de filles (dixit mon chéri) mais je dois avouer que celui-là ne m’a pas particulièrement touché.
L’humour tombe à plat, on s’attache peu aux personnages. Jennifer Aniston et Kate Hudson donnent l’impression de rempiler pour un énième rôle identiques. Et comme souvent, seule Julia Robert sort son épingle du jeu (même si franchement, niveau coiffure, c’est la catastrophe).
Non mais sérieusement, on dirait qu'elle a la moitié d'une citrouille sur la tête !
S’il fallait trouver une qualité à ce film, c’est celle de mettre en valeur tous les types de maman : les mamans célibataires, les jeunes mamans, les mamans homosexuelles, les mamans qui n’ont pas pu élever leurs enfants, les mamans dont les enfants ont grandi, les papas qui endossent le rôle de mamans….
Alors même si l’hommage est maladroit et peu réussi, le plus important n’est-il pas de simplement dire merci à nos mamans pour nous avoir donné la vie (ou pas d’ailleurs), pour être notre petite voix dans la tête qui nous guide dans la vie, pour le meilleur et pour le pire ?